Away We Go de Emil Ostrovski


 Synopsis depuis Goodread :
Westing is not your typical school. For starters, you have to have one very important quality in order to be admitted—you have to be dying. Every student at Westing has been diagnosed with PPV, or the Peter Pan Virus. No one is expected to live to graduation. What do you do when you go to a school where no one has a future? Noah Falls, his girlfriend Alice, and his best friend Marty spend their time drinking, making out, and playing video games on awaywego.com. But when an older boy named Zach (who Noah may or may not be in love with) invites Noah and Marty to join his secret Polo Club, the lives of both boys change as they struggle to find meaning in their shortened existence. With an innovative format that includes interstitial documents, such as flyers, postcards, and handwritten notes, Away We Go is a funny, honest look at first love and tragic heartbreak.

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Résumé en Français:
Westing est une école spécial. Tout d'abord pour y entré il faut être mourant. Tout les élèves de Westing on le PPV ou Peter Pan Virus. Personne n'est censé vivre jusqu'à la remise des diplomes. Qu'est ce qu'on fait quand on va dans une école où personne n'a de futur ? Noah Falls, sa copine Alice et son meilleur ami Marty, passent leur temps à boire, coucher et jouer aux jeux vidéo on awaywego.com. Mais quand, Zach, un garçon plus âgé (dont Noah est peut être amoureux) invites Noah et Marty a rejoindre son club secret appeler Polo club, la vie des deux garçon change pendant qu'ils cherche le sens de leur trop courte existence. Avec un format innovant qui inclus des documents comme des prospectus, carte postale, notes écrite à la main... Away We Go montre les premier amour et les cœurs brisé tragiquement, de façon drôle et honnête.  

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Ceci n'est pas du tout le résumé au dos du livre qui est très court il y a simplement : 
 Noah. Alex. Alice. Marty. Juan. Zach.  
Ensemble jusqu'à qu'ils ne le soient plus. 
Au loin ils s'en vont. Au loin ils s'en vont.

(Together until they're not. Away they go. Away they go.)
 Il y a plusieurs référence a Peter Pan étant donné que c'est le nom du virus. L'origine de ce nom n'est pas expliqué mais j'imagine que c'est parce que c'est une maladie qui ne touche que les enfants et tue à l'adolescence. 

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My words:
Premièrement parlons de l'univers du roman : La narration est spéciale, elle n'est pas linéaire cependant la période est indiqué au début de chaque partie. J'ai étais un peu perdu au début mais on s'y fait vite. 
Même si rien ne nous l'indique à première vue, je considère ce roman comme dystopique. Quand je l'ai commencé je pensais que c'était un roman contemporain qui parler d'une vrai maladie. Évidement si une tel maladie existé de nos jours j'espère qu'on serait a courant et que les infecté ne serait pas traité de cette façon... 

Je trouve que ça s'apparente à la dystopie même s'il n'a aucune mention de gouvernement ni même de date. Il n'empêche que tout les jeunes infecter par le virus sont isolé et enfermer dans des instituts "scolaire" ou ils n'ont droit a aucun contact avec leur famille et amies à l'extérieur. Ils ne savent pas grand chose sur leur situation, mis à part qu'ils mourront avant d'être en age pour recevoir leur diplôme. Ils ne savent pas exactement où est ce qu'ils seront amener quand leur cas sera trop avancé, il y a plusieurs théories et rumeur et ils ne savent s'ils peuvent croire les autorités non plus. 
La situation a l'extérieur de Westing n'est pas mentionné, l'univers n'est pas développé mais s'il l'avait été je pense que cela aurait correspondu parfaitement à une dystopie. 
De plus le narrateur, Noah, compte les jours avant une catastrophe naturel qui devrait détruire la planète ou pas. Et puis les élèves condamnés sont distrait par la vie standard d'étudiant qu'on leur impose dans ces établissements, où les jeux vidéos, internet et réseaux sociaux sont omniprésents, où la plupart des jeunes boivent bien trop. Ce qui est clairement une accentuation de notre société actuel, encore un des thèmes favoris de la dystopie : les autorités mettent en place des divertissements pour que le peuple oublient que c'est la merde.  
On pourrait sinon, au moins, considéré ce roman comme une critique de la dystopie, car il semble reprendre plusieurs cliché est s'en moqué. Je ne l'ai pas énormément ressentie, mais j'ai lu plusieurs critique qui l'on mentionné. 


Et maintenant ce pourquoi j'ai choisie ce roman : il a pour narrateur et personnage principal un garçon homosexuel, pourtant l'histoire ne tourne pas forcement autour de se fait. 
Je trouve ça important de le relevé car il est rare d'avoir des personnages principaux gay dans des romans jeunesse dont ce n'est pas le sujet de l'histoire. L'histoire tourne plutôt autour des émotions de Noah, le fait qu'ils soit gay n'est pas un soucis, c'est quelque chose d'accepter dans ce monde autant que dans le notre. C'est-à-dire que la norme est à l’hétérosexualité mais Noah n'est pas non plus obligé de se cacher.
Il sort pourtant avec une fille, non pas pour avoir une couverture mais plutôt pour une raison bien plus égoïste: avoir toujours quelqu'un sur qui se reposé. Il n'est pas non plus si hypocrite car Alice sait qu'il va voir ailleurs et sais qu'il ne l'aime pas comme cela mais elle aussi s'accroche a lui. Les relations ne sont pas des plus saine dans cette histoire.
Leur situation est tellement impensable, je ne pense pas qu'on puisse les juger si facilement. Ils sont jeunes, malades, enfermer et condamné. Ils essaient de "vivre" avec ça autant que possible. Je précise car j'ai lu des critiques en colère contre Noah qui "trompe" Alice tout le temps. 

J'ai aussi lu une critique disant "Je m'attendais pas a autant de sexe entre mecs dans un roman jeunesse, j'étais choqué." Il est vrai qu'il n'y a aucun avertissement, d'ailleurs la première et quatrième de couverture ne nous dit pas grand chose sur ce qui se passe dans ce livre. 
Oui, Noah a des relations sexuel avec des garçons (et également avec Alice) mais il n'y a aucune scène explicite. Juste des situations qui implique qu'ils vont baisé, c'est assez crut certes, mais il n'y a rien de choquant. Il y a cependant une scène de sexe violente, toujours sans aller dans le détail; il y a un abus physique de la part d'un personnage et c'est assez dur.


J'ai adoré le personnage de Noah, il est cynique et sentimentalement complétement paumé. Il doit être insupportable à vivre, pourtant je n'ai pu que m'attacher à lui après avoir vécut dans sa tête, écouter ses répliques drôles et souvent déplacés... mais surtout après avoir ressentit son cœur se briser un bon million de fois
On a pas vraiment le temps de bien connaitre les autres personnages qui ne font que papillonner autour de Noah ce qui est dommage, il aurait fallut un roman beaucoup plus long et je pense que ce n'étais pas l'intention de l'auteur. 


Je ne vais pas m'étendre plus que ça sur l'histoire car je pourrais vite spoiler, et puis s'il y a aussi peu d'infos sur la quatrième de couverture c'est peut être que l'auteur voulait qu'on ne savent pas à quoi s'attendre ?  

En tout cas ce livre, et surtout son personnage principal, m'a fait rire et pleurer, je le relirais certainement, c'est un jolie coup de cœur inattendue. 

 🌈

" To die will be an awfully big adventure"

 "Mourir serai une bien grande aventure"

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